Une journée comme les autres...[libre]

Le soleil commencais se coucher, j'ouvris les yeux et je regardais tout de suite ma montre, il était que 21H30. Je sais pas pourquoi, ces temps ci, je dors de moins en moins longtemps, sachant que je me suis couche a 00H00. J'ai dormir que 21H30, ma moyenne est de 22H par jour. 30 minutes d'avance dans mon levée peux me perturber... Mon metabolisme ne tient pas plus de 3H debout, obligé de dormir... Je descendis de mon arbre ou je dormais tous les jours. Arrive sur le sol, j'avancais vers un petit jardin secret, que seul moi connaissais l'existence... J'essaye de le cacher le plus possible, car c'est ma seull ressource pour vivre. Enfin, quand je dis jardin, allez pas vousi imaginez qu'il y ai des patates, des jolis fleurs et tout. Il y a simplement des arbres d'eucalyptus qui commencais a pousser. Il était assez grand pour avoir des feuilles, ma nouriturre. Je pris donc plusieurs feuilles dans ma main uis je l'ai mangé comme je fais tous les jours, enfin tous les soirs... Après mon festin, fallait que je parte a la chasse aux portes monnaie, j'avais plus de sous et il fallait encore que j'achete quelques arbres... J'allais en direction de la ville, quand je sentis une presence non loin d'ici, j'aiun odorat très fin, s apeux aider desfois... Je resta debout près a sauter sur la personne. D'habitude, je recois jamais de visite...


HS: desole pas inspire :3

Je m'étais baladée dans Paris pour profiter un peu de ma permission et rentrai chez moi en coupant par le bois de boulogne. Je marchais tranquillement sur le petit chemin de graviers, un sac contenant quelques achats à la main. Je me grattai un peu les avant-bras. Ma mutation se poursuivait lentement mais sûrement. Le duvet de mes bras s'épaississait pour ressembler à de la fourrure. Pour l'instant, les poils gris étaient suffisament fins pour passer inaperçus, mais si ça continuait je ne pourrais plus porter mon uniforme avec les manches repliées, ce qui ne ferait pas très discret en plein été. C'est alors qu'une odeur intriguante vint à mon nez. C'était une odeur étrange que je n'avais encore jamais sentie. L'un de mes principaux défauts, n'étant même pas dû à ma partie bestiale, était la curiosité. Je savais que ça allait finir par me perdre, mais à chaque fois impossible de résister. Après avoir vérifié qu'il n'y avait personne dans les alentours, je sortis du sentier et m'enfonçai dans les fourrés. Au départ, je m'étais attendu à tomber sur un clochard, mais au fur et à mesure que j'avançais l'odeur se précisait. Ce n'était ni un animal ni même vraiment un humain. Serait-il possible que ce soit un...
En écartant une branche, je tombai nez à nez avec un gosse de dix-huit ou dix-neuf ans. A première vue, il était normal ce jeune, si ce n'était qu'il ne dépassait pas le mètre-quarante.