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 Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ]

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MessageSujet: Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ]   Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ] Icon_minitimeLun 6 Aoû - 11:33

Encore une soirée de merde. Si j'ose dire. Pardonnez mon language, mais il n'y a pas d'autres mots. Car se faire voler votre sac sous votre nez, sans que vous puissiez réagir tellement la foule est massive, oppressante, se faire aggresser par un jeune en mal d'amour ou de je-ne-sais-quoi à la sortie du métro, puis se prendre une averse en pleine face à peine êtes-vous sortie, moi j'apelle ça une soirée de merde. M'enfin... J'ai vécu pire... Disons que ça peux encore s'améliorer, ou, au contraire, avec ma chance habituelle, s'aggraver. On parie combien ?

Bref. Non mais si il n'y avait que ça... Encore, mon sac, je n'avais rien d'important dedans. Un portefeuille avec quelques petits billets dedans, même pas mon passeport. Un stylo, un carnet, un porte-clefs... sans clefs dessus. Les miennes sont dans la poche interne du manteau noir que je porte ce soir. Trop facile. Dans une ville telle que Paris, le moindre abruti mal intentionné peut vous voler votre sac. Il faut savoir ruser... Non, ce qui m'énerve, c'est qu'après toutes ces années de recherche, je ne l'ai toujours pas retrouvé. Et j'enrage. Je commence à désespérer. Mais je n'abandonnerais pas. Jamais. J'ai juré de le faire payer pour ce qu'il a fait. Et il payera. Chèrement.

Un grognement sourd s'échappe de ma bouche, grondement animal, bestial, qui m'attire le regard effrayé du couple qui vient de croiser ma route dans cette rue déserte. Je leur adresse un regard neutre, blasé, dénué de tout sentiment et de toute agressivité. Passez votre chemin, il n'y a rien à voir... Ou presque. Serrant les poings - geste qui m'arrache une grimace de douleur lorsque je sens mes " griffes " pénétrer dans la paume de mes mains, je me hâte de traverser l'un des ponts qui relient l'île à la cité de Paris. En moi, je sens mon sang bouillonner. Mon visage se crispe, et, tant bien que mal, je rabats la capuche de ma veste sur ma tête. Non pas que l'averse qui se déverse depuis à présent une bonne vingtaine de minutes sur la ville, plaquant mes boucles noires trempées sur mon visage dégoulinant d'eau me gêne, mais je n'ai pas envie de passer pour folle avec mes traits qui se tordent dans tous les sens. Et je préfère éviter de me faire remarquer. Pas maintenant. Je sais que l'instinct recommence à prendre le dessus, et que je peux être très dangereuse dans ces moments-là. Aucune envie de me retrouver en taule avec ma figure en première page des journeaux, condamnée à je ne sais combien d'années pour avoir sauvagement égorgé un ou plusieurs passants innocents. J'ai autre chose à faire que de passer mon temps derrière les barreaux. Beaucoup plus important.


- Fais chier... Murmurais-je entre mes dents serrées.

Manquait plus que ça. Le parc où je comptais me réfugier est squatté par une bande d'adolescents boutonneux et les copines blondes jugées sur leurs motos pétaradantes. Vu les conneries qu'ils débitent, je pense que, en fait, ce ne serait pas une grande perte si j'en assassine un ou deux... Mamma Mia. J'imagine le carnage. Non Rachel. Tu recommences à te laisser emporter. Calme-toi, ça va aller. Ce n'est qu'une petite crise passagère, dûe au fait que tu ai repensé à... Merde. Mais ferme-la Rachel, ferme-la ! Je me mords violement la lèvre, serrant de plus belles les poings, avant d'accélérer l'allure, essayant de calmer la rage et l'animal qui grondent désormais en moi. Bon Dieu. Restons calme. Ce n'est pas la première fois que cela arrive. Mais je n'ai aucune envie d'assassiner des innocents, simplement parceque je me suis énervée. Après on s'étonne que les humains haïssent les hybrides... Regarde ce qu'il a fait de toi Rachel, une bête, un monstre... Une meurtrière, comme lui...

Je me stoppe net, livide. Non. Non, non, NON ! Jamais, vous m'entendez, jamais ! Hors de question de devenir un assassin, comme lui, jamais ! Une longue plainte, plus un hurlement animal qu'autre chose, s'échappe de mes lèvres, tandis que je me laisse tomber à genoux sur les escaliers glissants et ruisselants de pluie qui mènent à la cathédrale de Notre-Dame. D'un geste vif, j'ôte mon capuchon, libérant mes boucles noires, et je ferme les yeux, inspirant profondément, tandis que ma main fouille entre les replis du col de ma chemise de soie noir, avant d'en extirper la croix d'argent qui pends à la chaînette attachée autour de mon cou. Mes mains se crispent dessus, et, tandis que j'incline légèrement la tête, mes lèvres s'agitent en silence, murmurant une prière désespérée à quiconque l'entendra sous cette pluie battante. La paix... C'est tout ce que je veux...
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Raquel
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Raquel


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MessageSujet: Re: Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ]   Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ] Icon_minitimeLun 13 Aoû - 15:08

[berk ... mon post est vraiment caca ... et je suis sûre qu'on pige pas la moitié de tout ce qui est écrit... m'enfin... si t'aimes pas dis-le.]

Quelle délicieuse cher tu m'offres mon ange. Que croyais-tu donc ? Que parce que tu étais à l'origine de la même race que moi tu pouvais m'approcher sans risquer ta peau ? Pour qui me prends-tu ? Je suis Raquel, ton frère aîné ainsi que celui de tous les anges et de par ce fait, je suis plus puissant que vous tous ! Entrez-vous bien dans la tête que je ne vous aime pas, je méprise votre espèce, je déteste cette manières que vous avez tous à me regarder de haut quand je ne regarde pas et de trembler quand je plonge mon regard vairon dans le vôtre. Vous êtes tout simplement méprisables, tous autant que vous êtes. Vous êtes le plus grand échec de la création.

-Alors Rotacael ? Qu'as-tu à ajouter ? je demande en secouant son corps plus qu'à moitié déchiqueté.

Aucun son ne s'échappe de ses lèvres pourtant ouvertes, desquelles aucun souffle ne sort. Je fronce les sourcils. Mort ? Déjà ? Cela fait à peine une heure que je m'amuse avec toi. Je te secoue un peu plus et ton bras droit se sépare de ce qui reste de ton corps, tombant par terre dans un bruit mat.

-Y serais-je allé un peu trop fort ? je demande avec un sourire, sachant très bien qu'il ne répondra pas.

J'éclate d'un rire décharné, sans réelle émotion. Je reconnais que peut-être mes ongles se sont enfoncés un peu trop souvent, que sa gorge avait un goût délicieux et que son pied a été particulièrement agréable à broyer… Il faut comprendre, il n'arrêtait pas d'essayer de me donner des coups de pieds. Je soupire, rejetant d'un geste puissant le corps dans les fourrés. Demain, la police le trouvera, ou encore une gamine… ce serait bien plus amusant. Je m'apprête à quitter cet endroit quand une voix creuse et étouffée retentit derrière moi.

-Raquel !
-Tiens tiens, bien le bonsoir L'Solaz. Je ne savais pas que tu étais de visite sur terre. Laisse-moi deviner… Tu es venu voir ton frère , je dis avec un amusement à peine dissimulé. Je viens de balancer son ignoble cadavre aux insectes. Il était... exquis... Mais je crois qu'il n'a pas supporté la puissance de mes coups de bassins... on dirait un pantin désarticulé maintenant...
-Tu n'avais pas le droit !

Sans plus de paroles, voilà cet imbécile d'ange de seconde main qui se jette sur moi, toutes ailes dehors. Je lève les yeux au ciel. Je n'ai pas envie de me battre. Je voulais baiser quelqu'un, je l'ai fait et j'en ai assez pour la prochaine demi-heure… à me remettre en forme. Il faut dire que j'ai été dur avec le pauvre petit, tout jeune qu'il était. Ennuyé, je déploie mes immenses ailes sombres avec un gémissement de fatigue et m'élève tel une flèche vers les nuages. J'entends le cillement de l'air m'indiquant qu'on me suit, un regard derrière me le confirme. Je grommèle. Je ne vais pas aussi rapidement que je le voudrais, m'étant vidé de mes forces sur le jeunot – et aussi d'autre chose. Je vais devoir ruser pour me débarrasser de cet incapable parce qu'incapable ou pas, moi je suis vidé. Je respire lentement, scrutant le sol au dessous de moi. Une petite forme attire mon attention. Une femme, agenouillée au sol. Quelque chose en elle respire la puissance et je me porte tout naturellement vers elle. Je me pose tout près et m'effondre au sol, simulant une faiblesse plus grande qu'elle ne l'est en réalité. La femme ne voit pas mes ailes, mais moi je vois qui elle est. Un seul petit coup d'œil et je le sais. Hybride. Miam... J'aime les hybrides. Je tends la main vers elle au même moment où se pose L'Solaz.

-Aidez-moi, je dis d'une voix éraillée. Il veut m…

J'entends l'ange qui s'approche de moi mais je ne m'en occupe pas. S'il s'approche trop, je pourrai toujours utiliser un peu de ma puissance pour l'entraver dans tout ses mouvements, mais de là à le tuer, je ne sais pas. Toujours est-il que j'espère quand même que la femme se portera à mon sec… Elle pleure ? Alors là, elle a probablement autre chose à faire que de me venir en aide. Voilà alors L'Solaz qui me dépasse, s'approche d'elle tout en me regardant.

-C'est une de tes amies c'est ça ?! Une complice ? lance-t-il avec fureur. Eh bien tu vas voir ce que c'est de perdre quelqu'un par les mains d'un autre.



Je reste muet. Il ne m'attaquera pas ? Il va s'en prendre à la femme ? Pas de problème. Parfait même. Je suis tenté de me relever et de partir, de le laisser faire comme il en a envie. Mais je regarde à nouveau l'hybride, la détresse et son chagrin peints sur son visage s'impriment dans mon esprit. Je marmonne entre mes dents, peste contre mon trop grand cœur – abstenons-nous de tout commentaire là-dessus – et me redresse lentement, concentrant mon esprit sur le corps de l'ange. Après quelques secondes, alors qu'il s'apprêtait à abattre sa main sur la jeune femme, tout son corps s'arrête de bouger. Je regarde la femme qui visiblement, ne comprend pas grand-chose à ce qui se passe. Faut dire qu'elle était assez absorbée dans sa prière avant mon atterrissage semi forcé.

-Rends-toi utile et tue-le ou bien pars, je lance d'un ton sans émotion.

Mais si tu pars, je te retrouverai.
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MessageSujet: Re: Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ]   Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ] Icon_minitimeDim 9 Sep - 5:27

[ Mû, encore désolée du retard --' Puis j'aime beaucoup ton post, très bien ^^ ]

Quand je disais que la religion et la prière étaient plus pour les abrutis et les désespérés qu’autre chose… Parce que le jour où quelqu’un sera vraiment exaucé, faites-moi signe. En attendant, ma paix, je ne l’aurais pas ici. Du moins c’est ce que je prédis assez facilement en voyant cet homme s’écrouler à terre, juste à mes côtés, me tendant la main d’un air suppliant.
L’aider. Mais, qui est-il ? D’où sort-il ? Je ne l’ai ni vu, ni entendu, ni senti arriver. Etrange… Et généralement, je me méfie de ce qui est étrange. C’est pourquoi je le regarde d’un air assez… bizarre, hésitant entre m’en aller, simplement, ou lui porter secours. Car je ne suis pas un monstre tout de même.
Oui enfin, oublions ce point de vue là, voulez-vous ? D’ailleurs, je pensais que vous étiez de mon côté, et pas que vous partagiez le point de vu de la plupart des gens… Soit. Je me débrouillerais seule…

C’est peut-être d’ailleurs pour ça que je finis par lui tendre la main. Pour contrer cette stupide histoire « d’Hybrides malveillants, de monstres, etc… ». Pour une fois, juste une fois, leur montrer que c’est faux. Que nous sommes comme les autres. Ou presque… Oublions son allure… étrange, effrayante presque. Chacun son style… Il faut dire que je ne suis pas non plus cataloguée dans la catégorie « normale » de la population, à me promener en jupe-tailleur-talons aiguilles. N’empêche qu’il ne m’inspire pas confiance…
Et au moment où j’allais me saisir de la sienne, un autre arrive. Mais d’où sortent-ils tous ? Sur mes gardes, je recule, abandonnant l’autre toujours à terre. Tant pis pour lui. Entre ma vie et la sienne, je choisis la mienne. Cruel ? Non, tout simplement normal. Que voulez-vous ? C’est ainsi… D’ailleurs, je crois que j’ai bien fait, car en voyant le gaillard qui continue de s’avancer vers moi, dépassant l’autre homme sans se soucier de lui, bien qu’il le regarde d’un air… peu amical disons.


Citation :
-C'est une de tes amies c'est ça ?! Une complice ?

Attendez une seconde. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Une amie, une complice ? Laisse-moi rire… Tu te trompes lourdement là mon cœur. J’ignore ce que c’est que tout ce cirque, mais tout ce que je sais, c’est que ça va chauffer pour moi si je ne réagis pas assez rapidement.

Un grondement sourd s’échappe de ma bouche. Aïe. Aïe aïe aïe. Si tu ne t’en vas pas tout de suite, je ne réponds plus de ce que je vais bien pouvoir te faire mon cher… Essayez donc de maîtriser une louve folle de rage et de peur, vous verrez bien. Une nouvelle fois, je serre les poings, enfonçant mes ongles longs et pointus dans la paume de ma main, le corps tendu, à deux doigts de lui sauter à la gorge. Et j’étais d’ailleurs sur le point de le faire en voyant lever le bras vers moi, jusqu’au moment où il s’immobilise brusquement, un air stupéfait sur le visage. Avec mon passant « mourrant » debout derrière lui, un air froid sur le visage, un rictus sur les lèvres.


Citation :
-Rends-toi utile et tue-le ou bien pars.

Je vois. Oh toi Paris, ville pleine d’amour et de bonté… Tu parles. Ici, c’est complots, mensonges et meurtres. Et, comme toujours, il faut que je me retrouve dans une scène de la sorte. Evidement.

Mais attendez, juste un instant. Je ne sais même pas ce qui se passe. Ce qui leur est arrivé. Je n’ai rien à voir là-dedans moi. Et je déteste que l’on m’utilise, d’une quelconque manière. Ce que vient de faire « Monsieur Mourrant ». Et si il y a une chose que je hais encore plus que de me faire manipuler, c’est que l’on me donne des ordres. Et de m’en prendre à une personne sans défense. Moins trois point pour toi…

D’accord, l’autre a voulu m’agresser, a peut-être même tenté de me tuer. Mais je refuse de m’en prendre à quelqu’un qui ne peut se défendre. C’est tout simplement lâche, méprisable. Inspirant profondément, dans un effort démesuré pour tenter de me calmer, ne serait-ce que quelques minutes, je me tourne vers l’homme debout dans mon dos, esquissant un sourire. Sourire qui dévoile mes canines légèrement pointues. D’habitude, je garde les lèvres closes. Mais là, je n’ai pas de raison de me cacher. Et si il me dénonce… je le tuerais.


- Je ne vois pas du tout pourquoi j’accomplirais le sale boulot à votre place… Lâchais-je d’un ton méprisant. Je n’ai rien à voir dans toute cette histoire.

Un regard à l’autre, toujours immobile, pétrifié sur place. J’ignore qui ils sont, ce qu’ils font ici, ce qu’ils me veulent. Mais sur le moment, je ne trouve pas ça… étrange. Je n’ai pas peur. Après sûrement, là oui je commencerais à me poser un tas de questions. Mais là… J’ai autre chose à faire.

- De plus, je refuse de m’en prendre à un homme incapable de se défendre.

Je marque une pause. Le noble principe de l’honneur. Pitoyable n’est-ce pas ? Mais je suis comme ça, que voulez-vous…

- Mais si vous le relâchez de ce… cette chose, ajoutais-je d’un ton hésitant, perplexe, dans ce cas… Terminais-je d’un ton féroce, rabattant en arrière ma capuche, libérant mes boucles noires et mes yeux jaunes aux pupilles de jais, que je plante sur « Monsieur Mourrant », impassible.
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MessageSujet: Re: Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ]   Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ] Icon_minitimeLun 29 Oct - 18:42

[si le post est court, c'est parce que je m'impose une limite dans mes rps sinon je n'en viendrai jamais à bout. Si tu trouves que j'ai mis du temps à répondre, ne demande pas pourquoi XD et si tu trouves que le post est mauvais, c'est parce qu'il l'est]

Je te préviens ma jolie, si moi je n'ai pas envie de me battre contre lui, toi, simple créature mi-humaine mi-animale, tu n'en as pas plus envie. Le relâcher ? Pour qu'il se jette sur toi puis sur moi ? Bon bien sûr, qu'il te tue, je n'en ai rien à faire, et je sais qu'il ne parviendrait pas à me tuer, même dans l'état faible dans lequel je me trouve. Seulement, je n'ai pas envie de jouer au chat et à la souris avec cet ange de seconde – si ce n'est pas 26e – classe. Je lève les yeux vers toi, regard se voulant suppliant, mais comme je me connais, je dois avoir l'air plus agressif qu'autre chose. Grognasse…

-Crois-moi ma mignonne, je clame, si je le relâche, il ne fera qu'une bouchée de toi. Alors saigne le vite et tu pourras retourner à tes occupations de … - que faisait-elle à mon arrivée - de pleurnicheuse sacro-sainte.

Je souris, bien conscient qu'avec un commentaire comme celui-ci, c'est moi qu'elle risque d'attaquer plutôt que cet abruti d'imbécile d'ange mal bâté.

-Mets de côté tes adorables principes de gamine. Il n'est pas question d'honneur ici, mais bien de survie. Alors crève-le avant que ce soit lui qui le fasse.

Je commence à faiblir, ma prise sur l'homme se fait moins forte et je le sens qui tortille ses doigts entre mes fils invisibles. Juste encore un tout petit peu, juste le temps qu'elle se décide à t'égorger sur place. Peut-être aurais-je plutôt intérêt à lui botter un peu les fesses. Plutôt que de retenir l'ange, j'utilise mon don pour le projeter vers la jeune hybride, comme s'il allait l'attaquer. Le mouvement semble fluide, naturel et volontaire. Seulement, c'est moi qui contrôle tout. Je le force à lever le bras sur elle, moi je suis totalement immobile, personne ne pourrait deviner ce qui se passe. Si elle ne se défend pas, elle mourra.

-Tu vois ce que je t'avais dit cocotte ? De vrais monstres ces êtres. Il n'attendait que sa libération pour te bondir dessus. Défends-toi, qu'attends-tu donc ?
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MessageSujet: Re: Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ]   Quand on n'a plus que la prière... [ Raquel ] Icon_minitime

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