= Zechs =

Identité

Prénom et Nom

Je hausse le sourcil droit, l’arque légèrement…

« Hmmm… ça vous regarde ? »

… J’incline doucement la tête, durcit mon regard d’obsidienne et esquisse un sourire menteur, dévoilant rapidement des canines acérées.

« Je vois que nous sommes d’accord. »

Surnoms

« Zechs. C’est le seul nom qu’on soit autorisé à me donner. »

Dans l’éclat qui anime mes pupilles noires, vous pouvez clairement lire « … Et avises toi de l’écorcher ou de m’affubler d’un autre sobriquet mon lapin. » Le coin de ma bouche s’étire, ma langue passe lentement entre mes lèvres et sa pointe demeure un instant fichée en leur milieu. Rien que l’idée me donne déjà des frissons de plaisir. La faim me prend aux tripes… Quelle délicieuse sensation…

Date de naissance

« Vous savez que vous êtes…

...pénible. »

Mon visage faussement avenant se ferme soudainement. Peut-être est-ce parce que la question demande évocation du passé… mais cela, vous ne le saurez jamais. J’attrape mon paquet de cigarettes, en sort une – immaculée du filtre à son extrémité – et la plante entre mes mâchoires. Le temps de trouver mon briquet au fond d’une des poches de ma vestes, elle oscille verticalement sous les pressions rapides de mes dents. Un brève flamme, mes lèvres se resserrent, mes doigts s’écartent dans un geste lent et mesuré et j’exhale un halo de fumée bleutée aux senteurs mentholées.

« Je suis né en 1470. Au Japon, durant l’ère Muromachi. Assez précis à votre goût ? »

Sexe

Un profond soupir franchit la porte de mes lèvres, tandis que mes yeux se ferment. L’instant d’après, une expression de pur agacement peinte sur le visage, j’entreprends de répondre en essayant de couper court à mes envies de sarcasme.

« Masculin. »

Mieux valait faire bref, sans quoi je serais devenu fort impoli et mon langage se serait fait porteur d’une invitation à vérifier au ton très familier, empruntant un vocable ma foi assez imagé qui aurait fait désordre à peine la discussion entamée.

Âge

« Oui, ça me fait bien 538 ans. T’es une flèche toi dis moi. »

Exit les formules de politesses et le vouvoiement bon chic bon genre. Je commence sérieusement à en avoir ras le bol de ce simulacre d’interrogatoire. La vie éternelle ne fait pas naître la patience, malgré le temps qui passe.

« Un petit jeune… Ouais, si tu veux. On peut poursuivre ? J’aimerai assez abréger si ça ne te fais rien. »

Le sourire qui ourle ma bouche cette fois-ci dévoile totalement mes crocs. Un avertissement qui s’offre des atours civilisés en somme.

« Merci. »

Léger hochement de tête. Puis je me laisse aller en arrière, m’enfonçant un peu plus dans le siège situé en face de mon interlocuteur. La barbe. A tous les coups ça va encore durer une plombe. Ma cigarette est déjà à demi consumée. Je tire une nouvelle bouffée, qui emplit la seconde d’après l’air de la pièce, déjà saturée d’odeurs en tout genre qui irritent mon odorat bien trop sensible. Une moue de dégoût se peint brièvement sur mon visage, mais je garde pour moi une interrogation concernant la fréquence des moments consacrés à l’hygiène par la personne qui me fait face.

Physique

Description générale

« Pardonne moi mais… tu as fais un test de Q.I récemment ? Blond naturel hein. Ouais… j’suis désolé pour toi. »

Nouveau soupir, puis histoire d’activer la manœuvre, je reprends le cours de mes paroles.

« Cheveux noirs, yeux noirs. De ce côté-là, rien de surprenant pour un asiatique, n’est-ce pas. Je sais… mes traits sont assez peu typés. Pourtant il n’y avait pas d’étrangers en goguette au Japon à l’époque de ma conception. Va savoir… »

Je hausse les épaules dans un mouvement révélateur du fait que je me fous absolument de toutes ces histoires, avant de poursuivre.

«… les mystères de la génétique. Enfin, si tu aimes tant que ça m’entendre parler, je peux développer. Je change souvent de coupe de cheveux. Plus longs que bien des femmes parfois, quand l’envie me prend de jouer sur le registre androgyne. Mais en ce moment, ils sont assez courts, enfin pour moi. Dégradé effilé, longueur aux épaules pour le maximum. Bref dans l’air du temps… la queue de cheval style samouraï m’allait très bien cela dit. En dehors de ça… Hmmm… généralement je porte des vêtements de couleur sombre. Noir, rouge bordeaux, bleu nuit, anthracite. Le style feu de signalisation tricolore, je le laisse à d’autres, trop voyant et vulgaire à mon goût. Les teintes profondes vont mieux aux peaux aussi pales que la mienne, non ? Oui, c’est pour la même raison que j’ourle mes yeux de khôl. Le noir de mes iris paraît alors sans fond.»

Un regard appuyé, à la profondeur froide des abysses, vient se planter dans les yeux de l’interrogateur.

« Quelque chose d’autre pour ton bon plaisir ? »

Taille

« Hm, il y avait plus intéressant. Enfin. 1 mètre 75. Tu veux connaître ma pointure aussi peut-être ? »

Corpulence

« Je ne joue visiblement pas dans la catégorie sumo… 55 kilos, puisqu’il faut apparemment se fendre d’informations inutiles dans le coin. »

Signe particulier

« Je suppose qu’on peut compter mes piercings comme entrant dans cette catégorie. Je te fais la liste mon chaton ? 27 : 7 à l'oreille droite, 9 pour la gauche, 1 sur l'arcade sourcilière, 1 au nez, 1 à la langue, 4 pour les lèvres, 1 au nombril + 1 au téton droit. Le compte est bon. »

Caractère

Description générale

« Ca t’arrive souvent à toi de faire la liste de tes qualités ou de tes défauts ? Un petit rituel que tu t’offres devant le miroir pour rompre la solitude ou te regonfler le moral, c’est ça ? J’ai mon petit ego certes mais je t’avouerai que je ne passe pas non plus ma vie à parler de ma petite personne. Mais s’il n’y a que ça pour te faire plaisir. Voyons… par où commencer. Tu veux vraiment que je te gâche la surprise ?

Ok.

Pour tout te dire, je ne suis pas quelqu’un de très causant quant on en vient à parler de moi d’une manière aussi directe. Ca manque de subtilité vois-tu. S’il est une chose que j’ai gardé de mes origines, c’est l’appréciation des choses raffinées. J’ai adapté la chose à ma nouvelle vie cela dit, la chasse est un sport qui peut se pratiquer avec élégance. Ca peut même devenir un jeu tout à fait particulier, qui compte bien d’autres plaisirs que celui du repas en lui-même. J’aime les approcher, les fréquenter, les sonder, m’insinuer dans leur vie voir dans leur lit avant de les dévorer, les mignons petits agneaux. Sadique ? Pervers ? Non. Vraiment ? Question de point de vue. Pour moi il ne s’agit que de relever le niveau du jeu. Qui a-t-il de si noble à se jeter comme un morfal sur sa proie et s’en aller la bâfrer dans l’ombre ? Et pourtant, nous sommes des êtres supérieurs n’est-ce pas. Je mets juste un point d’honneur à me conformer à cet aspect de ma race. Comme dit, je suis un vampire, pas un charognard. Et la chasse est si excitante quand on tourne et tourne encore et encore autour de la biche aux abois.

Pour ce qui est du reste, je suis parfois moins regardant sur le standing. Quand il s’agit de satisfaire mes clients (cf statut social), rien n’est trop peu reluisant. S’ils aiment, je fournis. Drogues, déviances sexuelles… peu importe. Je ne touche pas à tout mais je peux tout donner. J’ai mes préférences sur certains points. Mais je ne suis pas fermé pour autant. Sociable, je le suis par nécessité. On ne fait pas marcher un commerce comme le mien en tirant la gueule à tout bout de champ ou en ignorant les gens. Vampires comme humains. Pour autant, ça ne veut pas dire que j’en ai quelque chose à foutre des uns et des autres, loin de là. Les hybrides quant à eux… se sont des porcs, des erreurs de la nature, à peine bons pour la torture si je n’ai rien de mieux à me mettre sous la dent. Ou de moins sale devrais-je dire. Entrée interdite dans mes établissements, du moins si ils souhaitent rester en vie. Après, s’ils sont tentés par un petit tour dans les arènes de notre reine… C’est assez amusant d’ailleurs ces combats dans les catacombes. J’y assiste parfois, si je n’ai rien de mieux à faire de ma nuit, mais c’est assez rare. Les vampires... leurs histoires de vengeance, leurs règles… elles commencent doucement à me taper sur le système. Mais on ne crache pas dans la soupe, ça ne se fait pas hein ? On ne mord pas la main qui vous a été tendue avec tant de mansuétude. Non, vraiment, ce serait odieux... Je me demande bien quel sort serait réservé à qui oserait faire une chose pareille. Quoi qu’il en soit, je me plie aux lois mais à mesure que je vieillis, curieusement, je me sens de plus en plus d’affinités avec une certaine liberté de mœurs. Anarchie ? Allons, tout de suite les grands mots. Je l’ai dit, ça ne se fait pas… »

Tic

« Le nombre de cigarettes que je fume par jour en fait certainement ce que vous autres appelez un tic. Une habitude plutôt mais on ne va pas chipoter. »

Sur ces mots, j’envoie valdinguer d’une pichenette la cigarette dont j’avais tiré la dernière bouffée disponible quelques instants auparavant. Elle atterrit sur le sol à quelques centimètres derrière mon vis-à-vis, après avoir rasé sa joue. Le geste eut été moins rapide qu'il aurait certainement senti la chaleur du bout encore incandescent de l'objet volant identifié.

État

Statut social

« J’avais zappé une période de recensement ou c’est pour tes fichiers personnels ? Je tiens un night-club dans le quartier du Marais. Plus un peep-show à Pigalle, avec un joli bout de trottoir assorti quand mes ouailles ont envie de prendre l’air. Je peux comprendre que les vitrines et les pervers rendent claustro à trop haute doses, mais les pauses syndicales ne font pas partie du contrat quand on travaille pour moi. Ils ou elles continuent à bosser, mais dehors. Le business de la nuit me semblait approprié compte tenu de ma nature… et certains de mes compatriotes sont un peu trop engoncés dans leur aristocratie si tu veux mon avis. C’est irritant de rester à ne rien faire, même quand tu pourrais passer le reste de ton éternité entre des draps de soie. Bref, je bosse par envie, parce que ça m’amuse, voilà tout. Cela dit, ne me confonds pas avec un simple petit maquereau sans envergure, j’ai fait mon possible pour ne pas t’insulter, malgré tes questions idiotes. Dans mon pays d'origine, je ferais partie de ce que l'on appelle maintenant les Yakuza.»

(si c'est possible donc, j'aimerai bien avoir ces deux "boîtes" là ^^)

Statut civil

« Mon corps… appartient à qui me plaît, quand ça me plaît. Question cœur… Là, ça ne regarde personne d’autre que moi, navré. Mettons célibataire. »

Passé

Sa vie

Appuyant l’index et le majeur de ma main droite sur ma tempe, le coude calé sur l’accoudoir de mon siège, je ferme les yeux et réprime un nouveau soupir.

« Bon. Je ne suis pas un des plus vieux de ma race… mais il se passe déjà pas mal de choses en un demi millénaire. Je vais faire un résumé si tu n’y vois pas d’inconvénient, autant pour t’éviter de perdre encore plus ton temps que pour m’éviter une migraine...

Je suis né dans le Japon féodal, à Kyoto. Fils de famille bourgeoise, naturellement, je fus envoyé à l’école militaire. Une longue tradition martiale formait les racines de la lignée paternelle et il aurait été difficile de faire pire déshonneur au sang des miens que de ne pas exceller dans l’art de la guerre. Pour tout dire, mon père s’offusquait franchement quand il apprenait qu’un garçon suivait une autre voie que celle du Bushido. Depuis mon premier cri et la révélation de mon sexe, même tout petit, je n’entendais parler que de mon futur statut de samouraï.

Mon père s’enorgueillit avec une évidence presque indécente du fait que son héritier allait entrer au service du Shogun Ashikaga Yoshizumi. J’avais tout juste dix neuf ans à l’époque. Je servis le Shogun en tant que membre de sa garde personnelle pendant cinq années sans que rien de notable ne vienne perturber le cours tranquille de mon existence. La vie s’écoulait comme les eaux calmes d’une rivière, au rythme bien établit des journées militaires. Rien ne changeait, tout se passait comme on l’avait prévu pour moi depuis bien avant ma naissance même. Mais il se trouvait des personnes curieuses dans l’entourage du Shogun. Oh rien de bien intéressant au final pour la plupart, juste la cohorte habituelle de charlatans, d’astronomes plus ou moins versés dans l’occultisme. Des bouffons plus propres à amuser la galerie en fait qu’à amener quelconque révolution dans les mœurs.

Parmi eux se trouvait toutefois quelqu’un de particulier. D’abord, il était étranger. J’ai passé des heures à l’observer à la dérobée, ravi d’avoir enfin sous les yeux quelque chose d’exotique, quelque chose qui rompait la monotonie du quotidien. Pour être exotique, ça oui, c’est le moindre des qualificatifs que je puisse employer à son égard. Un lettré originaire de France, aux manières au moins aussi raffinées que celles des nobles de la cour du Shogun, au point de connaître les complexes us et coutumes d’usage dans mon pays. J’écoutais avec attention chacune des conversations qui s’échangèrent entre lui et le Shogun, qui étaient devenus intimes au fil du temps. Rien ne se passait, en dehors du fait que mon désir de m’échapper du carcan qu’était la vie sur ces terres grandissait au point de me faire haïr l’étroitesse de tout ce qui avait été mon monde, mon existence jusqu’ici. Du moins, naïf comme je l’étais alors et ignorant de ce qu’était vraiment cet homme, je pensais que rien ne se passait et prenait encore plus de plaisir à épier les moindres conversations auxquelles il prenait part.

Des gens disparurent régulièrement au sein du palais, quelques autres dans la ville. L’on attribua cela aux mouvements de dissidence qui bouillonnent toujours au sein de la populace, peu importe le gouvernement en place. Les disparitions avaient toute fois commencé à se faire beaucoup plus nombreuses depuis l’arrivée de cet homme. Personne n’en avait rien dit, voir peut-être rien remarqué. J’en fis mention au Shogun. Un simple fait, un détail curieux que j’avais relevé au cours de l’enquête qu’il nous avait chargé de mener, commençant à craindre pour sa sécurité et avide de mettre la main sur les rebelles supposés pour dormir un peu plus tranquillement la nuit. La seule récompense de cinq années de service irréprochable fut une expulsion immédiate. J’avais manqué de respect à l’hôte le plus cher du Shogun et devait paraît-il me montrer reconnaissant de ne pas avoir à sacrifier au rituel du suicide. En vérité, c’était le dit hôte qui avait intercédé en ma faveur et demandé la clémence du Shogun à mon égard.

Mais cela, je ne l’appris que plus tard. Tout comme le fait qu’il m’avait remarqué, qu’il avait suivit l’expansion de mon dégoût et de mon rejet de tout ce qui faisait mon essence et ma vie, à mesure que mon intérêt pour d’autres horizons s’excitait des histoires qu’il comptait aux diners de la cour. Ce n’est que quelques mois après mon éviction du poste de garde, mois qui achevèrent d’attiser ma haine du système de valeurs qui était le pilier de mon pays et de ma famille après que mon père m’eut répudié et jeté dehors comme un chien pour avoir déshonoré ma lignée, qu’il se présenta à moi. Et m’offrit une nouvelle vie. Quand bien même j’aurai eut une once d’appréhension ou de désir de me défendre lorsqu’il me prit, elle fût aspirée en un instant en même temps que mon sang. Il ne me restait plus rien de toute manière, j’étais moins qu’un cafard aux yeux de mes pairs, errant dans les rues, mendiant pour gagner ma croûte… autant me laisser crever et accepter que la mort eût les traits de celui qui m’avait tant fasciné. Quoi qu’il fût en vérité, car j’ignorais alors encore tout de ce qu’était un vampire, ce monstre représentait mon salut.

Amusant en y repensant, je ne pouvais pas être plus dans le vrai. Je lui suis encore reconnaissant aujourd’hui d’avoir élargit mes horizons autant que mes possibilités par son baiser. Il demeura longtemps avec moi. Nous voyagions beaucoup, changeant de métier, de lieu, d’identité dès que la nécessité ou l’envie s’en faisait sentir. Moi qui désirais tant sortir du monde étriqué qu’était le Japon, je n’aurai pu rêver mieux. Puis un jour… même sa compagnie me parut aussi étouffante que ne l’avait été ma vie humaine. Je le quittais sans préavis, mais je doute fort qu’il n’ait pas sentit que l’infant était prêt à continuer seul sa route. Jusqu’ici, je n’avais vu que l’Asie et l’extrême orient. L’Europe. Pourquoi d’ailleurs ne m’avait-il jamais emmené voir la France, son pays natal ? Avait-il quelqu’un à éviter ou à fuir ? Jamais il n’en avait fait mention en tous cas.

Enfin, à ressasser des souvenirs, je me rends compte que je parle beaucoup. Un peu trop même à mon goût. Les deux siècles qui viennent de s’écouler, je les passais donc à visiter l’Europe. Allemagne, Autriche, Angleterre… Il n’y avait qu’un endroit où je ne m’étais pas encore rendu. La France.

Paris !

Hmmm… depuis combien de temps suis-je ici d’ailleurs ? Ca doit faire un peu plus de deux ans… Enfin, je ne tiens pas de compte exact, le temps importe peu pour des êtres comme nous. »


Famille

Parents ou tuteurs

« Ma famille est morte et enterrée depuis longtemps. Tout le monde n’a pas la chance de s’éveiller au monde de la nuit… Il reste certainement celui qui fût mon guide les premiers temps, mon créateur. Mais je n’ai plus entendu parler de lui depuis que j’ai quitté l’Asie pour l’Europe. J’imagine qu’il vit encore, peut-être reviendra-t-il par ici ou s’y trouve-t-il déjà. Après tout, s’est sa terre natale. En tout cas, je ne l’ai pas revu depuis deux bons siècles. »

Frères et sœurs

« Néant. A part ceux de ma race… »

Le ton laisse à entendre que cela est pour moi une obligation qui ne m’est guère agréable. Les vampires sont soudés… il paraît.

Autres fréquentations importantes

« Aucune qui ne mérite plus qu’une autre d’être mentionnée. De toute manière, je croise énormément de monde à cause de mes activités professionnelles. Le reste du temps, je suis moins sociable. »

Autres

Ses rêves et ambitions pour l'avenir

« Là tout de suite… me tirer d’ici. Ca faisait un moment que je n’avais pas ressentit autant le poids des minutes qui s’égrènent malgré mon statut "d’immortel". Sinon, je ne fais jamais de plans sur la comète… l’avenir nous le diras donc. Si je te recroise, je te raconterais ça. »

Je me lève dans un mouvement souple et me dirige vers la porte sans rien ajouter. Au revoir. Salut. Bye. A la prochaine ? Non, toutes ces expressions sonnent bien trop humain et nous en avions fini depuis un moment avec les hypocrisies sociales de bon ton.

Possessions particulières -

Pouvoir particulier-

Vous

Votre nom ou surnom
Vous êtes bien indiscrets par ici =P

Votre âge
23

Comment avez-vous connu le forum ? Je ne me souviens plus exactement, mais par un annuaire rpg je crois Oo

Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ? Aki, bassiste de SID.

Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une sœur, une tante, un ami ... ? Pas pour le moment.

Avez-vous hâte que je vous valide ? Forcément !

La fiche est-elle trop longue ? Malgré le fait que mon personnage se plaigne de la longueur de son entretien, non, pas le moins du monde. =)

Avez-vous une critique à formuler sur le forum ? Pas que je sache…

C'est excellent ! Beau, grand ! Riche ! Brefouille :) très de rien du tout, te voilà maintenant des nôtres. Je file te mettre ton groupe et réserver ton avatar.

Merci beaucoup pour aller avec le très de rien du tout... et parce que ça fait toujours plaisir mine de rien =)