Kaspar ( Hybride )

Ce modèle est valide uniquement si vous désirez jouer un hybride.

Je vous rappelle, que la fiche doit être écrite à la première personne du singulier, et idéalement au présent. Toute fiche qui sera faite par un narrateur absent devra être recommencée.

Identité
Prénom et Nom
Trouvez-moi un truc réaliste, pas de loveuze101. Pensez à un nom que vous pourriez avoir dans la réalité. Pensez que vous êtes à Paris.. S'il y a surabondance de japonais, je serai contrariée. Prénom : Kaspar ; nom de famille : Delanot .
Surnoms
Quel sobriquet vous a été accordé par vos amis ou ennemis ? Bien sûr, vous pouvez ne pas en avoir Il y a deux ou trois personnes qui m'appellent Kassie ; honnêtement, je ne leur en veux pas . Je reconnais que je leur tends la perche .
Date de naissance
Nous sommes en 2007. 04/10/1984
Sexe
Besoin d'un dessin? Non merci, je crois que je vois de quoi vous parlez ^__^
Âge
Bien sûr, si votre personnage a 90 ans, je ne m'Attends pas à ce qu'il fasse des pirouettes partout. Ne vous privez pas d'action avec un personnage trop vieux ou trop jeune. Bien sûr, si vous êtes capables d'intégrer un enfant de 6 ans à l'histoire, arrangez-vous pour qu'il reste actif et ait un rôle important. 23 ans .

Physique


Description générale
5 lignes obligatoires. Ce doit être conforme à votre avatar. N'oubliez pas qu'un hybride n'est pas toujours beau, qu'il a ce que les autres voient comme des malformations, des catactéristiques de l'animal qui partage son code génétique, mi-homme mi-animal.
Vous pourrez me reconnaître facilement à mes vêtements . Je ne crains pas le froid, ce n'est pas que je suis incapable de me procurer les habits chauds nécessaires au climat ; en fait je porte le moins d'épaisseurs possibles, et des choses qui absorbent bien la pluie, parce que j'aime être trempé . Je dois être la personne qui laisse le plus de traces de pieds humides dans les magasins, bibliothèques universitaires et autres restos bon marché où je traîne ma misère, je parie que les services de ménage de tout Paris me connaissent et me maudissent pour ça . On dirait perpétuellement que je sors de la Seine . En fait je ne m'y suis retrouvé qu'une fois et encore, c'était une question de vie ou de mort . Sinon, vu que logiquement ça me fait des vêtements assez moulants, vous pouvez constater au premier coup d'oeil que je me tiens légérement recroquevillé sur moi-même, rarement droit, que je suis plutôt mince et élancé sauf quelques muscles un peu plus développés sur les bras – vive les pompes et les pensionnats militaires en général – et que j'ai une façon particulière de me déplacer, comment dire, flottante, et cependant énergique . Pour vous donner un exemple, je peux avoir la tête complètement ailleurs et si l'on me porte une attaque par surprise faire un écart aussitôt, c'est presque impossible de me toucher si je n'en ai pas envie . Donc oui encore une chose, avec moi c'est le régime rasta – uniquement pour les cheveux mais pareil, ça peut aider à me reconnaître .

Taille la moyenne mandé ^__^ quoique je sois surtout le portrait craché de l'ancêtre peul de la famille, mais on n'en est pas très fiers alors on n'en parle pas tellement .
Corpulence une musculature fine et souple, rien de bien impressionnant, la peau sur les os par endroits .
Signe particulier
ses caractéristiques animales, autant ses habiletés que ses signes distinctifs Mes habitudes et mes goûts me trahiraient immédiatement si les gens avaient connaissance de l'explication qui les justifie toutes ensemble . Comme ça quand on n'y réfléchit pas j'ai seulement l'air un peu extravagant, mais regardez : j'ai besoin de me mettre des gouttes dans les yeux régulièrement, je passe le plus de temps possible à la piscine, ma facture la plus élevée est la facture d'eau, je suis absolument imberbe dès qu'on s'éloigne du visage et les rares endroits qui ne le sont pas, je les épile parce que ça m'horripile ! Mes couleurs préférées sont les teintes de jaune à bleu en passant par tous les verts imaginables, le soleil me brûle les yeux, le feu a tendance à m'angoisser et je ne peux ni dormir ni me concentrer sur un travail dans une pièce décorée d'images désertiques . Je me nourris de poisson dans la mesure du possible ...
Oui, je sais, je noie le poisson – si je peux dire . Mais c'est que physiquement ma ''particularité'' est affreusement embarrassante ... Comment dire ça sans employer de mots gênants ... et voilà, vous m'avez fait rougir . Seigneur que je déteste rougir ! Bon, voilà, mes organes génitaux ne sont pas externes, ils sont disposés suivant le modèle des mammifères marins, dans un fourreau qui se rétracte et dont ils sortent en cas d'excitation . Ouf ! Ça c'est fait ... mais tout de même, comme c'est indiscret de votre part !

Caractère

Description générale
10 lignes obligatoires. Je sais que c'est beaucoup pour certains. Mais j'exige que chaque membre connaisse parfaitement son personnage. Mais si j'avais pas mis dix lignes, je vous en aurais mis 5 pour aime, cinq pour aime pas et tout et tout. Alors entrez-moi qualités, défauts, goûts là-dedans et vous ferez dix lignes facilement. Les hybrides sont généralement bons et incompris, misez sur leur mise à l'écart.
Ne vous méprenez pas : je peux être un salaud quand je veux . Eh bien, comme tout le monde, non ? Je ne suis pas si sensible que j'en ai l'air et si je ne fais pas de mal à ceux qui m'entourent, ce n'est pas par simple fragilité, parce que je ne le supporte pas ou je ne sais quoi . Simplement, j'ai décidé de donner tort à ceux qui ont un problème avec moi . Ça passe par être un type bien . Je me suis fait tellement traiter de monstre que je me dois à moi-même d'être un ange, je ne sais pas si je suis clair ... Et puis c'est vrai que j'ai une capacité d'empathie assez développée, vous aurez beaucoup de mal à me cacher votre véritable aura, et ceux qui rient pour cacher leur tristesse seront les premiers démasqués, parce que c'est un jeu auquel je joue moi-même souvent . Et ce n'est pas du masochisme, mais un coup de poignard dans le dos me rendra plus confiant, et une insulte plus digne . Voilà comment on pourrait appeler ça : esprit de contradiction envers le destin . Sinon, quand je commence à m'amuser, y a plus rien qui m'arrête, et ça on pourrait l'appeler l'esprit night life par exemple . Quand je pars le soir en boîte après les cours, je sais que je ne dormirai pas . J'aime les animaux, notamment mon rat de compagnie, et j'ai assez peur des gens qui ne les aiment pas . Je veux dire, pas simplement le fait que je ne les comprends pas, j'en ai carrément peur . Parfois ils ont peur de moi eux aussi, mais je dois dire que ce n'est pas particulièrement réconfortant . En revanche les gens qui ont une part animale développée, peu importe qu'ils aient une attitude bienveillante ou agressive, auront tendance à me rassurer, c'est à dire que j'aurai l'impression d'être dans mon élément, par exemple davantage en me battant contre un fou qui se prend pour un loup-garou qu'en discutant autour d'un café avec un gérant de Mac Donald ^__^ Autre chose : je parlais le sigi so quand j'étais petit alors on m'appelait Yurugu, mais plus maintenant, donc je ne vais pas vous raconter, c'est un peu long ...
Tic
facultatif je ne sais pas si le fait de cligner continuellement des yeux, sauf quand je suis sous l'eau, constitue un tic ... ou d'y mettre des gouttes de liquide physiologique quand ça devient trop pénible ... J'ai aussi une tendance irrépressible à siffler ou à claquer de la langue pour exprimer ma critique ou mon admiration, et comme je suis quelqu'un de plutôt exubérant, ça arrive assez souvent dans la journée .

État

Statut social
À quel rang se situe votre personnage ? Est-il haut placé ?  A-t-il un rôle particulier ? A-t-il un métier ?  On veut savoir. Je passe cette année ma licence de littérature française à l'Université de la Sorbonne . En parallèle, je suis bénévole dans une association de soutien et d'information pour les victimes du sida, et je travaille pour un de ces magazines dont la couverture représente de beaux messieurs plus ou moins vêtus . Non, je ne suis jamais sur la couverture, ha ha, très drôle .
Statut civil
Divorcé, marié, veuf, célibataire ... Je suis marié depuis l'âge de 18 ans à un couple de soeurs absolument charmantes, qui sont restées au pays . Elles n'étaient pas du tout rassurées à l'idée de faire quoi que ce soit de leur nuit de noces, étant donné qu'elles avaient à peine 16 ans à l'époque et qu'elles préféraient nettement les personnes du même sexe ; aussi nous nous sommes mutuellement laissés tranquilles et je crois qu'elles vivent assez heureuses dans la maison de ma mère . Je ne prends pas vraiment de nouvelles et je ne crois pas avoir d'enfants, qu'ils soient de moi ou de quelqu'un d'autre .

Passé

Sa vie
Je vous demande 15 lignes ici. Et décrivez bien tout. Qui est-il ? D'où vient-il ? Qui était sa famille ? Vous avez des tas de pistes, à vous de les exploiter, à vous de vous faire valoir aux yeux de l'administration. En clair, vendez-nous votre salade.
Comme c'est joliment dit ! Eh bien, la voici ma salade . Je suis né à Bamako centre, dans un hôpital tout à fait aux normes où on s'est beaucoup inquiété de mon cas et où divers tests ont été administrés sur ma personne jusqu'à l'âge de onze mois, date à laquelle ma mère, une femme de poigne, a décrété que je passerais mon premier anniversaire à la maison, et que ces messieurs en blouse pouvaient aller se faire mettre par la couveuse si ça ne leur convenait pas . D'ailleurs les tests n'avaient rien conclu de bien sérieux, j'étais certes plutôt pâle mais pas au point d'être taxé d'albinisme, j'avais certes des organes sexuels un peu étrangement conformés mais comme disait ma mère, ''ça changera quand il aura la trique'', j'étais certes un peu délicat à la chaleur, au soleil et ce genre de chose et j'avais de grands besoins en eau et en boisson, mais j'étais tout petit, pour ma famille ça ne comptait pas, ils ne rêvaient tous que de s'occuper du petit nouveau, de le chérir, de le gâter, et je peux vous assurer que j'ai une famille nombreuse et complexe – je vois un paragraphe qui y est réservé, j'attends d'y arriver pour développer davantage .

C'était un peu difficile pour eux parce qu'il n'aimait rien, le petit nouveau ! Il n'aimait pas les gâteaux, il n'aimait pas être le héros du match de foot, il n'aimait pas reluquer les bipèdes en mini-jupe et les touristes en bikini ... il avait une peur horrible des films de guerre, ce qui pour un fils de militaire est tout de même ennuyeux ... mais bon, tant que je suis resté à la maison à me faire mi-chahuter, mi-chouchouter par tout le monde, c'était encore assez tranquille . Mon père, son père était français et c'était un homme très sage, comme tous mes grands-parents en fait, et en comptant les remariages je n'en ai pas que quatre, enfin tout ça pour dire que c'était un grand homme mais il avait des idées un peu étroites sur l'éducation des garçons, et puisque j'étais le genre gentil, secret et réservé qui reste dans sa chambre avec ses soeurs à s'occuper des plus petits, il fallait m'envoyer au pensionnat militaire pour m'endurcir, c'était logique . Un jour je l'ai entendu discuter avec mon colonel de père et ça donnait quelque chose comme :
''Tu ne voudrais pas qu'il y ait un danseur classique à la maison, pas vrai ?''
''Un danseur classique ?''
''Et qu'il te ramène ses petits amis pour le repas du soir ?''
''Ah, ça, non bien sûr, mais Kaspar est normal ...''
Normal, hein . Ça fait toujours plaisir . Je me méfiais horriblement de mon père à cette époque parce que j'entendais des rumeurs sur des choses affreuses qui seraient arrivées dans la province, et auxquelles l'armée aurait été mêlée . Ma mère, elle assomait les gens rien qu'avec son sourire, je préférais nettement cette méthode-là . J'ai tenté le coup quand j'étais au pensionnat . Une séance dans les vestiaires du gymnase et c'était fini de sourire ; ma petite particularité ne s'était pas arrangée, et même en essayant très fort de se cacher, la seule chose qui intéressait les petits camarades c'était ''qui avait la plus longue'' ; donc ils se mirent brusquement tous à se battre, parce que les uns disaient que j'étais une fille inscrite en fraude sous un nom de garçon et qu'il fallait me dénoncer ; les autres, que j'étais un handicapé ou un eunuque et que je leur ferais le ménage dans leurs chambres sinon ils me cassaient la figure ; un ou deux, qu'il fallait me fiche la paix – ceux qui avaient les plus longues justement, c'est amusant, peut-être parce qu'ils se sentaient moins menacés ... Finalement le second groupe obtint la majorité, ils savaient jouer des poings et un mec du troisième groupe se fit méchamment amocher ce jour-là . Je vins le voir à l'infirmerie pour m'excuser . Ce garçon, Fahim, me colla une baffe – une petite, hein – en m'interdisant de m'excuser de nouveau . Il disait, si tu t'excuses pour exister, c'est comme si tu assassinais quelqu'un .

Je me retrouvais donc pour cinq ans en compagnie d'un ou deux dégoûtés qui ne rêvaient que de me faire exclure, d'une classe de joyeux persécuteurs qui m'aimaient bien en un sens dans mon rôle de victime soumise, de quelques indifférents et d'un ami révolté par ce qui se passait, mais à qui j'avais fait jurer de ne plus intervenir pour moi, surtout à coups de poings . Il avait compris que sa présence était la seule chose qui pouvait me soutenir, et avait renoncé à ses velléités violentes qui n'auraient servi qu'à le faire renvoyer, ou pire . En dernière année, la moitié de la classe était en effet parfaitement capable de tuer à mains nues . Chaque fois que Fahim et moi on se croisait, on s'adressait un signe convenu entre nous, qui signifiait basiquement : courage, c'est bientôt fini . Je savais que je n'entrerais pas à l'école d'officier, et lui il savait qu'il serait capitaine, mais au moins on pourrait se voir sans une horde de débiles acharnés sur notre dos, ce serait un net progrès .

Et puis un scandale a éclaté . Mon père a été accusé d'exactions, à l'époque couvertes par le gouvernement, et à présent condamnées en raison d'un traité international signé par le nouveau gouvernement qui se mettait en place . En bref, c'était le moment de ramasser la caisse et de filer . Du jour au lendemain, toute ma famille s'est envolée pour le Brésil, où on avait des contacts . J'étais naturellement prié de finir mon année, après tout je ne risquais pas d'être inquiété . Mais ça m'a tout de même fait un choc . C'était le jour de mon anniversaire, en plus ... Je me suis saoûlé comme jamais, Fahim m'a emmené à l'infirmerie, je lui ai dit que je l'aimais, il a souri et m'a tapoté l'épaule en répondant : ''mais oui mais oui, moi aussi je t'aime'' et j'ai compris que je n'avais plus rien à faire dans ce pays . J'ai fait croire à mon père qu'un fils d'autre militaire que je détestais justement m'avait menacé à cause de l'affaire des exactions . Mon père a envoyé des mecs chez le militaire en question, celui qui avait pris sa place depuis sa fuite . Le lendemain le fils m'a chopé dans un coin des vestiaires et je peux vous assurer que maintenant je ne me sens plus tranquille dans les vestiaires, où que ce soit . Le comble pour quelqu'un qui adore tellement la piscine ...

Direction le Brésil après un jour assez triste de mon existence ; d'abord il faisait un soleil horrible, et ensuite Fahim m'a accompagné en insistant pour porter mes valises jusqu'à ce que je monte dans l'avion, en me demandant sans arrêt de lui dire ce qui m'était arrivé . Finalement j'en ai eu marre, je l'ai fait approché et je lui ai dit à l'oreille : ''j'aurais préféré avec toi .'' Un baiser sur la joue et je suis monté dans l'avion sans me retourner ; je n'ai quand même pas résisté à jeter un coup d'oeil par le hublot au moment du décollage, mais il n'y avait plus personne . Peut-être qu'il n'avait jamais existé, en fait ; et s'il avait existé, je préférais qu'il me déteste pour de bon, c'était plus facile pour nous deux . Autant vous dire que si le sport pratiqué au pensionnat m'avait aguerri physiquement, mentalement il ne restait pas grand-chose à défendre quand je suis arrivé à l'aéroport de Rio . Toute ma famille m'a sauté dessus et ça a recommencé un peu comme à ma naissance : le pauvre petit Kaspar qui doit rester se reposer à la maison et on va lui faire goûter toutes les spécialités locales . Apparemment les autres adoraient le Brésil . J'aimais bien le surf, mais je me suis vite trouvé des études passionnantes et une attitude de mec sérieux et professionnel pour justifier le fait que je détestais les séances de drague de plage qui suivaient les journées de surf . Un jour en plongée j'ai croisé un requin ... ben il s'est sauvé . J'aimais autant, j'avoue . Et je faisais peur aux autres parce que je restais trop longtemps sous l'eau .

C'était un peu comme des vacances et j'en avais marre, j'étais le seul à déprimer alors que tout le monde s'éclatait et que la plupart des autres fondaient une famille ; j'ai d'abord cédé à maman qui me suppliait de tenter le coup à mon tour, mais comme ça s'annonçait encore plus désastreux, j'ai pris ma décision . Mes études de français, je les ferais en France . J'avais déjà le niveau et l'âge de donner des cours, les cahiers de poésies sans destinataire s'entassaient dans ma chambre, il était temps de faire quelque chose . J'ai donc embrassé ma mère qui pleurait et mes épouses qui souriaient, toute ma famille qui me couvrait de cadeaux plus ou moins utiles, et je suis parti mêler ma déprime existencielle aux pluies froides d'une lointaine capitale . Je devais être le seul à me réjouir dans l'avion, à part deux ou trois accros qui ne supportaient pas trois semaines de vacances loin de Paris . Voilà comment à 21 ans j'ai débuté les cours de littérature à la Sorbonne, ainsi qu'un job de pigiste-correcteur en parallèle dans un magazine dont je tairai le nom . Un jour j'ai repêché un travesti suicidaire dans la Seine et je l'ai pris en colocation ; dès que les choses ont été mieux pour lui, cet espèce de bohème a refait ses bagages et a disparu dans la brume ; mais entretemps il m'avait montré les bons endroits et c'est là que je passe actuellement tous mes loisirs . C'est quand même plus confortable de vivre la nuit ; il fait parfois soleil à Paris, quoiqu'on dise .

Famille

Parents ou tuteurs
qui sont-ils, votre personnage est-il proche d'eux ? Mon père s'appelle Lucien Delanot et ma mère Bia Sarakole . Ils ne sont pas mariés, enfin, pas ensemble . J'écris beaucoup à Bia, que j'appelle Bia d'ailleurs . Je lui téléphone peu parce qu'elle ne supporte pas ce mode de communication, ça la rend terriblement nerveuse, et à vrai dire ce n'est pas non plus ma tasse de thé .
Frères et soeurs
idem Dans l'ordre de naissance, et en vrac ( c'est à dire sans répartir par fratries de parents communs, c'est trop compliqué ) : Teen Emba, Candice, Fanta, Loup, Vassili, Niobé, Lala, Bailli, Rupert, ( moi ), Octavie, Marc-Antoine et Marie-Antoinette ( jumeaux ), et Fatou .
Autres fréquentations importantes
facultatif je crois qu'on peut considérer les demi-soeurs Telmina et Frida comme des fréquentations importantes ... étant donné que ce sont mes femmes .

Autres

Ses rêves et ambitions pour l'avenir
Facultatif Disons que si je pouvais rentrer le soir et me blottir dans les bras de quelqu'un sous une couette bien chaude sans avoir à se soucier d'autre chose, ça serait déjà pas mal ... comme tout le monde sans doute . Ou simplement avoir un numéro de téléphone que je puisse appeler à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, si quelque chose ne va pas . Enfin bref ! Je n'ai jamais été un garçon ambitieux .
Possessions particulières
Facultatif Toute ma mansarde est redécorée de posters de Philippe Plisson, le photographe des tempêtes . Je tiens aussi pas mal à mes disques, pauvres petites choses fragiles, et à mon rat domestique, tout le contraire mais bon je le gâte quand même . Le rat en question s'appelle Leto . Ne me demandez pas pourquoi . C'est une jolie bête toute blanche avec du noir autour des yeux .

Vous

Votre nom ou surnom nom : Anaïs, surnom : Vincent . Sans commentaires . Comme ça, c'est dit ^__^
Votre âge niooooooooon jsuis pas vieux é____è
Comment avez-vous connu le forum ? Vous allez rire, je surfais, tranquille, sur la nationale 7, quand soudain, un requin marteau sorti des profondeurs ... le hasard, en quelque sorte !
Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ? Darryl Stephens, que vous devriez tous connaître ! Fi donc, c'est scandaleux .
Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ?
Si oui, vous pouvez en faire la demande dans la section des services sociaux. Non pour le moment je me débrouillerai sans la tante, merci ... Eventuellement Fahim, ce pourrait être un ange ce garçon, qu'est-ce que vous en pensez ?
Avez-vous hâte que je vous valide ? pas du tout, l'indécision est un plaisir si subtil ... enfin si, Siméon a dit non et du coup il attend encore O_o donc oui j'ai hâte !
La fiche est-elle trop longue ?
on voit tout de suite que j'essaie de la rendre encore plus longue ... ... ah jsais pas moi, c'est à vous de me le dire ^_^
Avez-vous une critique à formuler sur le forum ?
Autre que "la fiche est trop longue" ... la fiche est trop courte