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 Megara Moretti

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Megara Moretti Empty
MessageSujet: Megara Moretti   Megara Moretti Icon_minitimeSam 13 Oct - 13:05

Identité

Prénom et Nom
Megara Moretti

Surnoms
Meg pour les intimes. Mes ennemis m'appellent le Fléau à cause d'un vieux délire.

Date de naissance
20 Novembre 1988

Sexe
Féminin


Âge
19 ans

Physique

Description générale

Je suis plutôt jolie, je l’admets. J’ai de longs cheveux noirs, brillants et flottant légèrement dans mon dos. Ils sont fins et légers ce qui est pratique pour faire toutes sortes de coiffures. Je les attache quelques fois en une coiffure stricte et séduisante.
J’ai de grands yeux bruns. Les personnes ont tendance à s’y noyer quand ils y plongent leur regard. Amusant de les voir captivés par une simple couleur non ? Moi, j’adore. Mes traits sont fins et délicats, pourtant mon visage reste fermé. Je ne montre jamais mes sentiments, je ne dis jamais ce que je ressens. Si je pleure, c’est chez moi, jamais devant les autres.
Je m’habille en général d’un jean et d’un haut plutôt confortable, blanc ou noir. Ca dépend. Autour de mes fins poignets tintent quelques bracelets d’argent fin, un souvenir d’un ancien amour. Je porte quelques fois un collier, une chaîne en argent avec mon signe astrologique chinois, toujours en argent.
Quelques fois on voit une grosse ceinture à mes hanches parfaitement arrondies, en cuir noir.
J’ai une silhouette agile et raffinée, grâce à quelques années de gymnastique à très haut niveau, soulignée par ma démarche simple et gracieuse. Ah oui, je ne me sens à l’aise que dans des bonnes baskets.


Taille 1 joli mètre et 69 centimètre

Corpulence Je suis fine, pas comme les mannequins. Je ne suis pas anorexique ! Je suis une fille de corpulence normale, 57 kilos.

Signe particulier
De grands jolis yeux bruns a vous noyer dedant !

Caractère

Description générale

Je suis une fille de nature plutôt calme, bon soyons honnête, je sais parfaitement garder mon calme. Je ne montre jamais mes sentiments par gêne. Je n’ai pas envie que les gens connaissent mes états d’âme, quelques qu’ils soient. Bien sur si je suis heureuse, je ne le cacherai pas. Je sourirai, je chantonnerai. Qu’y a-t-il de mal à être heureuse ? Je vous le demande !
Je suis sportive, j’ai pratiqué dix années de gymnastique à haut niveau et me suis arrêtée sur le chemin de la gloire à cause d’un incident. Pourtant je persévère, je continue de bouger, je cours, je grimpe, une vraie sportive ! J’aime repousser mes limites au maximum et jamais je ne me plains.
J’aime tout ce qui est en rapport avec l’art, je dessine moi-même et je dois avouer que j’ai un don pour ça. Je peux passer des heures à dessiner, à observer un modèle sans remuer d’un cil, tout ça pour aller à la perfection, but ultime de tout artiste.
Mais ma véritable passion, c’est tout ce qui tourne autour de la nuit. J’adore ce moment ou tout est sombre, où les gens voient ressurgir leurs peurs d’enfants, sans avoir personne à qui confier cela tellement on est fier. C’est le moment où on se rend compte du véritable comportement des gens. J’ai l’habitude d’errer dans les rues, un sourire étrange aux lèvres, presque démoniaque. Je me sens toute autre la nuit venue, je me sens plus libre, légère, moins regardée. Je ne suis plus qu’une ombre parmi tant d’autre. Tellement agréable…
J’erre donc dans les rues, avec ma musique préférée dans les oreilles, Tecktonik… musique tellement agréable à entendre… Quelques fois je vais dans des boîtes de nuit regarder les gens qui, comme moi, aiment la nuit. Je les voit flirter, s’embrasser alors que (j’en suis sure) ils ne se connaissent ni d’Eve ni d’Adam. Et ensuite ils partent ensemble pour ne plus revenir de la soirée. Ils sont presque comme moi ces gens-là, ils aiment la nuit.


Tic

Je me tortille légèrement les cheveux quand je suis gênée.

État

Statut social Je ne suis qu'une simple étudiante en droit ! Je fais aussi des petits boulots tels que ciassière, serveuse ou baby sitter quelques fois

Statut civil
Je suis une pure célibataire


Passé


Sa vie
Je viens d’une petite ville du Limousin, un petit hameau en réalité. Près de Limoges. Vous ne connaissez pas ? Tant mieux, tant pis… Je suis née un 20 Novembre, celui de l’année 1988. Ma mère était une femme très faible, et me mettre au monde a été un calvaire pour elle, mon père m’en a toujours voulu de l’avoir fait souffrir comme ça, je suppose que c’est de là que vient sa rancœur à mon égard. Mais vous savez quoi ? Je m’en fous ! Je ne ressentais aucun besoin d’avoir la présence d’un père à côté de moi. Je vivais libre, heureuse. Je passais des heures dans la forêt près de ma maison. J’y observais les biches, les serpents qui me passaient parfois dessus… J’étais heureuse dans cette nature si belle et parfaite.
Mes parents avaient acheté cette maison quelques années avant la naissance de ma sœur, Elynaëlle. Celle-ci à 3 ans de plus que moi, mais nous nous considérons comme de parfaites étrangères.
Mon père, Marck Spieller, allemand, travaillait dans une immense boîte automobile et se faisait des millions, président de son entreprise. Nous avions une maison en Floride, en Italie, mais nous restions dans cette petite maison des environs de Limoges. Il aimait la simplicité mon père. S’il avait pu, il aurait vécu comme un moine, je le vois d’ailleurs très bien dans ce rôle. Il était radin, refusait de donner son argent, sa confiance à quiquonc, même à sa femme, la plus merveilleuse des femmes. Je tiens mon charme de mon père, un homme de taille moyenne, aux courts cheveux noirs, des yeux bruns perçants. Heureusement que j’ai su faire mon regard plus doux que le sien !

Je ne comprends pas comment mon père a pu épouser et aimer une femme comme ma mère. OU plutot... comment elle a fait pour l'aimer... Elle est tout ce qu’il n’est pas, amusante, belle, rieuse, séduisante, dotée d’un sens de l’humour extraordinaire. Elle était généreuse, sensible et aimante. Elle développait autour d’elle une aura extraordinaire, j’ai toujours cru qu’elle était un ange, mais non, c’était une simple humaine, comme moi. Ensemble, nous passions des heures à discuter. Elle n’était pas une mère pour moi, mais une amie, une confidente, ma complice. Nous parlions de tout, nous n’avions aucun secret l’une pour l’autre.
Ma sœur, Elynaëlle, était comme mon père, taciturne, secrète, etblessante. Jamais elle ne nous adressait la parole, ni même un regard. J’espère pour elle qu’elle avait la même relations avec Père que celle que j’avais avec Maman… Sinon elle serait bien triste. Je la déteste, certes, mais je ne lui souhaite pas de malheur pour autant.
Vous avez remarqué ? Je dis Père et Maman, au lieu de Papa et Maman, ou bien Père et Mère… Etrange ? Non, simplement normal par rapport au fait que mon père est pour moi relégué au même titre que ma sœur : des étrangers, vides de tout sentiments. Pourtant Dieu sait si je les respecte !

La partie intéressante de ma vie commence en 1995, j’avais 7 ans. Ma mère m’avait inscrite à un cours de gymnastique acrobatique, rapidement, j’y développais une grande agilité. J’arrivais à faire en quelques semaines ce que d’autres mettaient des mois à assimiler. J’adorais ça ! Tous les soirs en rentrant de l’école j’allais m’entraîner durant des heures, jusqu’à ce que ma mère vienne me chercher, tout sourire. Elle savait tout le temps où j’étais, si j’allais bien.
Je montais de niveau en niveau et à 14 ans, j’étais championne de France junior. J’étais vraiment douée. J’ai continué à m’entraîner des mois après ça jusqu’à ce fatal jeudi 20 mai 2002. Ce jour là, j’avais entraînement un peu plus tôt, je quittais mon école une heure plus tôt pour pouvoir arriver à l’heure à l’entraînement. Pourtant, je n’y suis jamais arrivée. Quelques mètres avant le gymnase, une voiture arriva à toute vitesse en ma direction, un homme ivre au volant. Quelques secondes plus tard, je sentis une douleur déchirante me parcourir le corps. Je fermais les yeux pour essayer d’oublier cette douleur.

J’ouvris les yeux dans une immense salle blanche, des personnes pleurant à mon chevet. A mon chevet ? Non, au chevet d’un patient à côté de moi, qui semblait mort, du moins, c’est ce que je crus en voyant un visage pâle comme la mort. Il n’y avait personne autour de moi. Je sursautai et cria soudain, surprenant les voisins :

- Non ! Je vais être en retard à mon entraînement !

Une femme à côté de moi hurla de frayeur, une infirmière arriva en courant vers mon lit et me parla. Elle me demanda si je savais qui j’étais, oui, si je savais où j’étais, oui à l’hôpital. Ensuite, elle me demanda si je me souvenais de quelque chose. Je lui dis que j’avais été renversée par une voiture. Bonne réponse. Elle m’apprit ensuite que j’avais passé six mois plongée dans un coma profond. On croyait que je ne me relèverai plus… Mon père avait déjà signé pour débrancher la machine qui me permettait de respirer. Je n’aurais eu que quelques jours à vivre si je ne m’étais pas réveillée. Une miraculée non ? Oui, j’en étais une. Quelques semaines plus tard, je rentrais chez moi, ma rééducation terminée.
Maman était partie, il y a quelques mois. Elle avait eut une violente altercation avec mon père en apprenant qu’il avait signé ce papier qui signait en même temps ma mort. Elle avait demandé le divorce et en quelques semaines l’affaire avait été réglée. Ils étaient divorcés et ma mère avait disparu de la circulation.
Entre le restant de ma famille et moi, les relations restèrent tendues. Nous ne nous parlions pas. Je commençais alors sérieusement à déconner. Mes vêtements étant devenus trop petits, je demandais à mon père de l’argent pour en acheter de nouveaux. Refus radical. Je me mis alors au baby-sitting et me faisait de l’argent de poche moi-même…
Je vécu alors avec les joints, l’alcool, la débauche totale. Je passais mes soirées dehors, début de ma passion pour la nuit. Je faisais du street-dance, je déconnais avec mes amis autour d’un bidon plein d’essence en train de cramer.
J’eu alors envie de refaire de la gymnastique. J’avais arrêté, n’ayant pas le cœur à entrer dans la salle de gym en savant parfaitement que ma mère ne reviendra pas me chercher.
Mes forces avaient diminuées, et la nuit j’entrais dans la salle de gymnastique, en fraude et je faisais de la poutre, dans des habits de rue, larges, flottants autour de mon corps. L’époque des justaucorps était bien lointaine ! Je suis passé des musiques de compétition, style Wagner, à des musiques de Step Up, entraînantes. Je passais mes heures à inventer de nouveaux pas sur la poutre, ensuite je passais sur les barres asymétriques, puis sur le trapèze. Les nuits étaient toute ma vie. J’adorais ce moment durant lequel je n’étais qu’une simple ombre.
J’avais 16 ans, 2004, quand un nouvel événement fit tourner ma vie. Comme d’habitude, je rentrais dans la salle en écoutant Tecktonik. Boum boum, encore et encore boum boum… J’aimais bien ce son qu’on retrouvait dans les musiques… J’arrivais en pantalon large et en pull noir difforme. Je posais la radio à côté de moi et je mettais le CD de Step Up et je me m’installais sur les poutres. Je faisais des figures de street-dance mélangées aux pas habituels de gym. Ensuite j’entendis quelqu’un derrière mon dos… Un garçon était tranquillement installé dans les gradins.
Le reste est un peu flou, mais je me souviens que quelques mois plus tard, nous sortions ensemble, dingues de l’autre. Notre histoire dura une année et quelque mois. Nous étions tellement bien ensemble, j’adorais passer les nuits dans la salle de gym, à y danser sous son œil amusé. J’adorais les moments qu’on passait ensemble. C’était l’extase. Pourtant un jour il m’annonça qu’il me quittait, sans me donner de réponse. Je ne le revis plus et arrêta la gym, n’y trouvant plus goût. J’allais avoir 18 ans dans deux semaines.
A partir de ce moment, je suis restée cloîtrée dans ma chambre, totalement déprimée, ne vivant plus que pour travailler, pour passer mon bac avec mention très bien. J’avais du boulot à rattraper, beaucoup de boulot. J’alignais les petits boulots, caissière le week-end, baby-sitter le soir. Je gagnais ma vie correctement.
Enfin vint le moment du bac ES. Je stressais, je me souviens avec amusement que j’avais failli avoir un malaise avant d’entrer en salle d’examen. Pourtant, ma note fut excellente et je bluffai tout mes professeur. 16 de moyenne sur le ES ! Vous imaginez ma joie !
Après le bac, je me suis rendue compte qu’il fallait que je fasse des études. Le droit m’intéressait pour la première fois, je m’inscris dans une université non loin de Paris, m’acheta un appartement grâce à une somme rondelette piquée dans le porte monnaie de Père. Depuis je vis de la bourse que je reçoit, et de quelques petit boulots…


Famille

Parents ou tuteurs
Mon tuteur est mon père et ma mère, mais je suppose qu’aujourd’hui elle ne se considère plus comme mon tuteur, vu qu’elle me croit morte ! Je déteste mon père ouvertement, et il le sait. Même si ma mère nous a quitté, je l’aime toujours. Elle a fait le bon choix, elle à quitté mon père avant qu’il ne lui pourrisse la vie… J’ai mit 18 ans à le quitter, elle en a mit 17. Plus rapide que moi. Je la félicite !

Frères et soeurs
Elynaëlle. Elle s’est mariée il y a quelques mois et attend son premier
enfant. Ravie pour elle ! Mais je m’en moque sincèrement au fond. Je ne veux pas la voir, elle ne veut pas me voir. Pas de problèmes !


Autres fréquentations importantes

Plus aucune maintenant. Juste les salles de gym le soir ou les discothèques.

Autres

Ses rêves et ambitions pour l'avenir Je rêve de devenir un avocat de renommée mondiale et retrouver maman.

Possessions particulières
Un appartement ? Et aussi un home cinéma, une chaîne hi-fi toujours poussée au maximum ! Du bon tecktonik, rien de mieux pour énerver les voisins à trois heures du mat' !

Vous

Votre nom ou surnom Noune^^
Comment avez-vous connu le orum ? Sadismus
Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ? Anne Hathaway
ue je vous valide ? OUIIIIIII 2014

La fiche est-elle trop longue ?
Peut-être, mais j’en ai connu des plus longues et plus complexes alors celle-ci est très agréable à rédiger^^

Avez-vous une critique à formuler sur le forum ? Naaan ! Il est parfait ! 2018
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Ashael
Seigneur des Anges
Ashael


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Date d'inscription : 21/05/2007

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MessageSujet: Re: Megara Moretti   Megara Moretti Icon_minitimeSam 13 Oct - 23:51

Désolée pour le temps XDD

Tu es validée ^^
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MessageSujet: Re: Megara Moretti   Megara Moretti Icon_minitimeDim 14 Oct - 13:05

Pas de soucis... Franchement moi j'ai trouvé ça rapide ! 2022
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MessageSujet: Re: Megara Moretti   Megara Moretti Icon_minitime

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Megara Moretti
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